mardi 15 mars 2016

Phobos, tome 2, de Victor Dixen




Titre : Phobos, tome 2
Auteur : Victor Dixen
Editeur : Collection R de Robert Laffont



4ème de couverture :

Reprise de la chaïne Genesis dans

3 secondes...
2 secondes...
1 seconde... 



Ils croyaient maîtriser leur destin. 
Ils sont les douze pionniers du programme Genesis.
Ils pensaient avoir tiré un trait sur leur vie d'avant pour devenir les héros de la plus fabuleuse des odyssées.
En réalité, ils sont les victimes de la plus cruelle des machinations.
Elle croyait maîtriser ses sentiments. 
Sur Mars, Léonor espérait trouver la gloire et, pourquoi pas, l'amour.
Elle pensait pouvoir ouvrir son coeur sans danger.
En réalité, elle a ouvert la boîte de Pandore du passé.
Même si les souvenirs tournent au supplice, il est trop tard pour oublier. 



Ce que j'en pense :

     J'avais absolument adoré le tome 1, comme vous pouvez le constater dans ma chronique du premier tome en cliquant ici.  J'avais aimé l'originalité de l'histoire, et de l'intrigue qui je trouve était bien trouvée et bien recherchée. 

     Malheureusement, le tome 2 n'a pas vraiment comblé mes attentes. De toutes manières, j'apprécie rarement un second tome après avoir beaucoup aimé le premier. Mais j'attendais beaucoup plus de ce sequel. L'histoire et les personnages n'ont à mon goût pas été assez approfondi. Les choix qu'ils font successivement ne me satisfont pas, et j'aurai aimé que l'auteur sorte plus des clichés perpétuels des romans jeunesse. C'est trop évident, et l'ont devine tout les évènement avant qu'ils n'arrivent.

    Malgré tout, la dernière révélation vaut quand même le détour, et c'est ceci qui me fera lire le troisième tome. Je ne suis pas particulièrement attachée aux personnages, qui chacun leur tour font quelque chose pour m'énerver. Je veux découvrir le mystère qui plane quand à la station martienne, je veux savoir ce qui se cache. 

     Au début du premier tome, j'ai cru que j'adorerais Léonor. Elle me semblait être une jeune femme forte et indépendante, très représentative de la femme de 2016. Et finalement, elle se transforme en le portrait typique de l'adolescente amoureuse. N'aurait-elle pas pu garder son indépendance, et ne pas dépendre d'un homme pour survivre ? Je veux dire qu'il est possible d'aimer sans pour autant que son propre monde révolve autour de celui de l'autre. 

     Quand aux autres personnages, je trouve qu'ils ne sont pas assez développés pour que l'on ait une idée claire de qu'ils sont réellement. Par contre, j'apprécie les révélations progressives quand aux véritables personnalités de chacun. 

     Enfin, je dirais cette dernière chose car je trouve que cela mérite d'être dit : l'histoire en elle-même manque de vraisemblance. Je suis d'accord sur les choix des personnalités surprenantes et singulières des "astronautes" choisis, mais envoyer un garçon en fauteuil roulant vivre sur Mars ? C'est un peu franchir une limite ridicule. J'ai réussi à adhérer au fait d'envoyer des jeunes avec un an de formation pour piloter un vaisseau spatial : ça, pourquoi pas. Mais le mec en fauteuil roulant, je suis désolée, mais je trouve ça complètement absurde


Ma note :  6/10


Lizie




1 commentaire:

  1. Coucou !
    Je viens te dire que je t'ai nominée pour le Dragon's Loyalty Award juste ici : http://mezouquilit.blogspot.fr/2016/03/tag-dragons-loyalty-award.html c:

    Passe une bonne soirée :3

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