jeudi 8 septembre 2016

Harry Potter and the cursed child, de J.K.Rowling

Article écrit par un tiers, Pierre, qui a eu la chance de lire ce livre avant beaucoup de monde en France. 


Titre : Harry Potter and the cursed child ou Harry Potter et l’enfant maudit
Auteur : J.K. Rowling, John Tiffany & Jack Thorne
Editeur : Little Brown (pour la version anglaise)

Parution : Juillet 2016 (VO) / Octobre 2016 (VF)
Prix : 23€


4e de couverture : 
The eighth story. Nineteen years later.
La huitième histoire. Dix-neuf ans plus tard. 


Première phrase :
« A busy and crowded station, full of people trying to go somewhere. »
« Une gare pleine à craquer, remplie de personnes essayant d’aller quelque part. »


Ce que j’en pense : 
    ENFIN. Enfin un petit bout de gras après l’œuvre d’art que constitue la saga des Harry Potter. On a eu le Quidditch à travers les âges, Les Animaux fantastiques, et Les Contes de Beedle le Barde, mais aucunes de ces parutions ne vous ramenaient dans le même imaginaire, ne ravivaient les mêmes émotions, que les 7 livres.
    Or, cette pièce de théâtre, mise en scène par Jack Thorne, et basée sur une histoire originale de J.K.Rowling, vous replonge dans cet univers magique.

    Au premier abord, un doute s’installe : le monde d’Harry Potter s’est constitué au fil de 7 romans, plus gros les uns que les autres, remplis de détails permettant de jeter les bases d’un univers, à la manière de Tolkien. Or le nouvel ouvrage est une pièce de théâtre. On pourrait alors se dire que sur scène, le rendu doit être chouette, mais qu’à la lecture, le texte sera bien pauvre.
    Et bien NON. Cette pièce de théâtre est une très bonne surprise. Je n’ai pas l’habitude de lire des livres en anglais, et j’ai donc mis du temps à la lire, mais je l’ai dévoré.
    Toute l’ambiance presque mystique des Harry Potter s’y retrouve, et l’auteure nous montre, au fil des pages, une nouvelle facette de la vie des sorciers : celle de parents. Alors que la saga était centrée sur une belle histoire d’amitié, cette pièce traite également de la paternité, et de l’héritage d’un enfant, que tout le monde met sur un piédestal, puis voyant qu’il ne suit pas les traces de son père, rejette. 
    Alors qu’Harry Potter était un orphelin aimé de tous, son 2e fils, Albus Severus Potter a des parents qui l’aiment, mais se retrouve être la risée de Poudlard.

    On lit alors une histoire différente de celle des autres tomes, mais qui les complète bien. De nombreux retours dans le passé du sorcier qui a défait Voldemort vous exalteront autant que le retour de l’humour abominable de Ron Weasley, et du je-sais-tout parfois bien utile d’Hermione Granger.

    Pour finir, il est difficile de parler de ce livre tout en ne vous donnant pas de détail sur son contenu, et c’est pour cela que je conseille à tout fan d’Harry Potter de se ruer acheter ce livre, ou bien d’attendre la sortie française, si la lecture en anglais vous pose problème. (bien que celle-ci soit particulièrement facile).

Ma note : 9/10

Pierre


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